Une petite fille de 11 ans ayant
La justice se justifie ainsi : estimant qu'aucune preuve ne montre que la relation entre les deux individus s'est faite avec violence, contrainte, menace ou surprise. La justice ne dit pas qu'il y a eu consentement de la part de la fillette or aucun élément ne prouve aujourd'hui qu'elle ait été contrainte. D'où une telle qualification. La famille de la fillette, qui s'oppose de cette appellation juridique du parquet, décrit une enfant tétanisée, incapable de se défendre. Pour elle, nul doute, il s'agit d'un viol.
Nul doute que dans les 20 ans qui viennent les lois sur les viols et atteintes sexuelles sur mineurs vont être modifiées pour le plus grands bonheur des salopards de pédophiles.
Le rendu du jugement pourrait ressembler à ceci : Le jeune garçon de 10 ans ayant accepté à la sortie de l'école, un bonbon de la part de son nouveau partenaire majeur, de 30 ans son ainé. Entendu que le jeune garçon a atteint l'age de raison, a reconnu à la barre avoir été averti par ses parents, des conséquences de l'acceptation d'une friandise et de l'invitation d'un majeur à monter dans sa voiture, le majeur n'ayant prodigué que des caresses et susurré des mots gentils sans aucunes contraintes ni menaces, il est donc entendu que le mineur a été sodomisé et a prodigué une fellation en tout bien tout honneur, son consentement implicite ne fait aucun doute et le majeur ne peut être poursuivi d'aucune manière.
Voilà comment se termineront les choses si on laisse passer cette première décision de justice.
- Pourquoi le viol n'est pas retenu
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